Notre programme en 4 points.
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1. Prendre le problème du chômage à la racine - Investir dans l’enseignement.
L’enseignement est un cheval de bataille libéral. Un enseignement de qualité offre plus de chances aux jeunes dans le vie. Avec une bonne connaissance des langues et une formation de qualité, l’on trouve facilement du travail à Bruxelles. Pourtant, des milliers de Bruxellois ne trouvent pas d’emploi. A quoi cela est-il dû? Si nous voulons
combattre le taux de chômage très élevé, il faut s’attaquer au problème à la racine. L’Open VLD de Bruxelles souhaite donner des moyens aux deux communautés pour faire de l’enseignement francophone et néerlandophone, l’enseignement du futur qui prépare les jeunes à un emploi fructueux. Voilà pourquoi, davantage de moyens sont nécessaires. Pour investir dans la rénovation des bâtiments scolaires souvent vétustes et trop exigus. Des moyens supplémentaires sont également nécessaires pour engager plus d’enseignants, pour un meilleur accompagnement pédagogique et un meilleur encadrement des jeunes. L’enseignement bruxellois doit profiter de ce plurilinguisme, y compris dans l’enseignement technique et professionnel. Le marché du travail est à la recherche de travailleurs polyglottes. Il y a toujours du travail pour les Bruxellois qualifiés et polyglottes. Si l’on a une bonne formation, l’on décroche un bon job.
2. Rendre plus attractive la vie en ville - Une réduction urbaine
Acquérir une propre habitation à Bruxelles est un excellent investissement. Mais pour pouvoir investir, il faut savoir surmonter les obstacles. Contracter un emprunt ou trouver des fonds soi-même. Ces obstacles sont souvent très importants. Les personnes qui habitent en ville, coûtent moins cher à l’état; moins de frais d’environnement, moins de frais de transport, et moins cher pour les nombreuses infrastructures collectives. Et comme l’exprime très bien le slogan « L’air de la ville rend libre », une vie urbaine dynamique donne une bouffée d’oxygène à l’ensemble du pays. Voilà pourquoi, nous souhaitons encourager les gens à venir habiter en ville, voire même les en récompenser. Comment ? 1. En diminuant à nouveau les droits d’enregistrement, aussi bien lors de l’achat d’une première habitation que lors d’une « revente ». Nous voulons ainsi rendre fiscalement
attractif l’achat d’une plus grande habitation grâce à la revente d’une plus petite. Pour ceux qui déménagent d’un propre flat à un appartement, et qui souhaitent acquérir plus
tard une maison, le fait d’habiter à Bruxelles reste un choix réalisable. 2. En diminuant le précompte immobilier dans les villes. Les personnes qui habitent en ville, doivent pouvoir bénéficier d’un « bonus fiscal » ou d’une réduction fiscale. Il revient au Fédéral de combler la différence de revenus pour les communes et la Région de Bruxelles-Capitale. 3. En construisant des logements sociaux à loyer fixe. Cela est possible grâce à la construction de nouveaux logements sociaux, aux chèques-logement sociaux ou en louant des
habitations privées via des agences sociales immobilières. 10% du nombre total des habitations à Bruxelles pourrait ainsi être mis à disposition.
3. Une mobilité à la mesure de la capitale - Nouvelles lignes de métro
La viabilité de Bruxelles, pour ses habitants, mais également pour ses touristes, ses entreprises et
institutions internationales dépend en grande partie d’une bonne mobilité dans la ville. Dans les années 70, les signes avant-coureur d’un réseau de métro digne d’une grande ville ont été posés. Le métro est aujourd’hui la plaque tournante du transport public.
Beaucoup de trams et pratiquement l’ensemble des bus sont coincés dans les embouteillages et encombrent la circulation. L’on ne peut accepter que les bus et trams ralentissent
la circulation au lieu de la désengorger. Comme l’on ne peut accepter que notre transport public à Bruxelles soit gêné par trop de circulation. Les spécialistes en la matière s’accordent pour dire que seul le métro peut concurrencer à la voiture à l’heure de pointe. Voilà pourquoi, Open VLD de Bruxelles plaide en faveur d’un transport public souterrain. D’ici 2020, nous devons reprendre les anciens plans pour une ligne de métro reliant Schaerbeek à Uccle, voire même aller plus loin. Les plans ont été freinés suite à l’opposition contre de grands travaux. Cependant, ce qui n’était techniquement pas possible par le passé, l’est aujourd’hui. Nous pouvons
creuser sous terre en occasionnant moins de désagréments pour les habitants du quartier. Cela coûte cher, très cher même. Mais cela sera rentable à long terme. Faisons de Bruxelles une ville mobile et facile d’accès et donnons lui les liaisons dignes d’une capitale internationale.
4. Refinancer Bruxelles
Le plan Open VLD de Bruxelles est simple. Bruxelles compte un million d’habitants. Chaque jour, 360.000 navetteurs se rendent à Bruxelles. Ils font usage de la ville. Ils donnent forme à la vie économique dans la capitale et paient leurs impôts en Flandre ou en Wallonie. Ils viennent travailler à Bruxelles, mais la richesse quitte Bruxelles. Les Bruxellois ne reçoivent pas ce qui leur est dû. Nous demandons un refinancement de Bruxelles, en tenant compte de ces navetteurs. Cela rapporterait chaque année quelque 500 millions d’euros de recettes supplémentaires. Nous ne réclamons pas de chèque en blanc pour Bruxelles. Davantage de moyens doit aller de pair avec une bonne gestion des communes bruxelloises et de notre Région. Voilà pourquoi, nous devons revoir la clé de répartition des compétences entre les communes bruxelloises et la Région. Nos communes bruxelloises, les CPAS et hôpitaux doivent travailler correctement dans les deux langues. Et pourquoi ne songerait-on pas, dans une ville cosmopolite telle que Bruxelles, à aider les citoyens en anglais? |